Qui que vous soyez, ne remettez jamais à un autre les intérêts de votre cœur ; le cœur seul peut plaider sa cause : il sonde seul ses blessures ; tout intermédiaire devient un juge;il analyse,il transige,il conçoit l'indifférence ; il l'admet comme possible, il la reconnait pour inévitable ; par là même il l'excuse, et l'indifférence se trouve ainsi,à sa grande surprise, légitime à ses propres yeux.
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